La prise en charge de la chirurgie réparatrice est-elle totale ?


La prise en charge de la chirurgie réparatrice est-elle totale ?

Différentes situations peuvent amener une personne à recourir à la chirurgie réparatrice. Certaines font suite à des actes volontaires comme une conduite à très grande vitesse, des sports extrêmes ou parfois même, des comportements irresponsables.

Mais dans certains cas, la chirurgie réparatrice s’impose suite à des événements hors contrôle et indépendants de la volonté du patient. C’est le cas par exemple des victimes d’accidents de voiture ou de moto, et dans certains cas heureusement fort rares, des victimes d’attentats à la bombe ou autres similaires. Mais la question est de savoir si ce type de chirurgie est pleinement pris en charge. Il est aussi important de noter que le suivi des professionnels est de plus en plus assurée par des logiciels connectés comme on peut le lire sur https://www.medecin-digital.fr

Le point sur la prise en charge de la chirurgie réparatrice

Le sujet de la prise en charge de la chirurgie réparatrice est opportun pour savoir à quoi s’en tenir quant aux coûts de l’intervention, qui, bien souvent, sont fort élevés. La bonne nouvelle est que cette catégorie d’interventions est à 100% prise en charge. Il est toutefois utile de préciser qu’on parle bien de la chirurgie réparatrice sur le corps ou sur le visage suite à une maladie grave, telle qu’une paralysie ou un cancer.

Elle englobe également les interventions suite à un accident de la route, une chute grave, des brûlures importantes, une morsure d’animal etc.

Chirurgie réparatrice en bref

Outre les blessures et plaies causées par les accidents et certaines maladies, la chirurgie réparatrice, appelée aussi reconstructrice, concerne les malformations congénitales qui peuvent entamer sérieusement la santé d’une personne. La Sécurité sociale prend donc en charge toute chirurgie réparatrice, comme certaines chirurgies esthétiques, sous conditions bien sûr. La prise en charge prend en considération aussi bien l’intervention proprement dite que l’anesthésie durant l’opération. Mais celle-ci doit se dérouler uniquement au sein d’un établissement hospitalier public.